[Ligue1] Tu y vas l'ancienne, ou je te lance ?
Quand les lensois se rendent à Nungesser, c’est un peu comme une grande réunion de famille : tout le monde se connaît mais personne ne se sait ce qu’on va bouffer.
Joué en milieu de semaine à un horaire pour enfants et fonctionnaires, ce VA-RCL se jouera à guichets fermés. En effet, le « derby de l’amitié » attire par l’incertitude qui plane autour des forces en présence. D’un côté, les valenciennois, 5ème, viennent de s’en prendre 7 en une semaine contre Paris et Marseille mais n’ont jamais perdu à domicile. De l’autre, des lensois dopés par le druide, tombeurs en 4 jours des deux meilleures formations françaises du début de saison. Qui aurait parié qu’un jour, Lens mettrait une branlée à Lyon avec Mounir Diane et Maoulida en attaque ? Ces deux victoires ne doivent rien au hasard mais à un retour de nos valeurs fondamentales, celles qui ont fait ses plus illustres succès et son (maigre) palmarès: abnégation, solidarité, combativité… Mais tout cela n’est-il qu’illusion ou le druide a-t-il réussi à changer durablement un groupe de touristes en un clan de guerrier assoiffés de victoires et de beau jeu?
La saison passée, Lens avait réussi à ramener les 3 points de Nungesser avec une victoire 3-1 et une tête victorieuse de Passepartout Carrière. Plus question de savoir avant ce match s’ils sont capables de se battre pour le blason, d’être meilleur que Valenciennes qui s’en ait pris 3 à Lyon, ni même de marquer sans Aruna ou de construire le jeu sans tenter des passes à l’aveugle de 50m… Auteurs d’actions sublimes et d’exploits personnels à foison dimanche, nul doute qu’ils peuvent le faire mais la question est maintenant de savoir si la fatigue physique de ce 4ème match en 11 jours ne leur sera pas préjudiciable.
Face à une équipe joueuse et construite par le Druide, rien n’est moins sûr. Mais celui-ci, qui se ferait un plaisir de voir le Racing exploser l’équipe qu’il a été contraint de laisser aux ordres de Koumbouaré l’arriviste, aura sans doute les mots et le plan tactique pour arriver à ses fins. Il reste à souhaiter, pour que cette fête en reste une, que tout le monde garde « l’esprit famille », que le Champomy et la Leffe coule à flot et que le Racing délaisse enfin sa place de premier reléguable aux Sans Stade Fixe lillois…
Joué en milieu de semaine à un horaire pour enfants et fonctionnaires, ce VA-RCL se jouera à guichets fermés. En effet, le « derby de l’amitié » attire par l’incertitude qui plane autour des forces en présence. D’un côté, les valenciennois, 5ème, viennent de s’en prendre 7 en une semaine contre Paris et Marseille mais n’ont jamais perdu à domicile. De l’autre, des lensois dopés par le druide, tombeurs en 4 jours des deux meilleures formations françaises du début de saison. Qui aurait parié qu’un jour, Lens mettrait une branlée à Lyon avec Mounir Diane et Maoulida en attaque ? Ces deux victoires ne doivent rien au hasard mais à un retour de nos valeurs fondamentales, celles qui ont fait ses plus illustres succès et son (maigre) palmarès: abnégation, solidarité, combativité… Mais tout cela n’est-il qu’illusion ou le druide a-t-il réussi à changer durablement un groupe de touristes en un clan de guerrier assoiffés de victoires et de beau jeu?
La saison passée, Lens avait réussi à ramener les 3 points de Nungesser avec une victoire 3-1 et une tête victorieuse de Passepartout Carrière. Plus question de savoir avant ce match s’ils sont capables de se battre pour le blason, d’être meilleur que Valenciennes qui s’en ait pris 3 à Lyon, ni même de marquer sans Aruna ou de construire le jeu sans tenter des passes à l’aveugle de 50m… Auteurs d’actions sublimes et d’exploits personnels à foison dimanche, nul doute qu’ils peuvent le faire mais la question est maintenant de savoir si la fatigue physique de ce 4ème match en 11 jours ne leur sera pas préjudiciable.
Face à une équipe joueuse et construite par le Druide, rien n’est moins sûr. Mais celui-ci, qui se ferait un plaisir de voir le Racing exploser l’équipe qu’il a été contraint de laisser aux ordres de Koumbouaré l’arriviste, aura sans doute les mots et le plan tactique pour arriver à ses fins. Il reste à souhaiter, pour que cette fête en reste une, que tout le monde garde « l’esprit famille », que le Champomy et la Leffe coule à flot et que le Racing délaisse enfin sa place de premier reléguable aux Sans Stade Fixe lillois…
Dj Pouch
